Les hommes ne sauraient jouir de la liberté politique sans l'acheter par quelques sacrifices, et ils ne s'en emparent jamais qu'avec beaucoup d’efforts.
Nous sommes libres quand nos actes émanent de notre personnalité entière, quand ils ont avec elle cette indéfinissable ressemblance qu'on trouve parfois entre l'œuvre et l'artiste.
Mon premier acte de liberté sera de croire à la liberté.
Quelle liberté que de savoir parler !
Peut-être l'homme ne tient-il sa liberté que du fait d'être mortel. Qui peut le savoir ?
Renoncer à sa liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme.
Un artiste est un homme, — il écrit pour des hommes. Pour prêtresse du temple, il a la liberté ; Pour trépied, l’univers ; pour éléments, la vie ; Pour encens, la douleur, l’amour et l’harmonie ; Pour victime, son cœur ; — pour dieu, la vérité.
Si nous ne pouvons changer le monde, changeons du moins notre propre vie et vivons-là librement.
Le temps qui nous conduit dans le chemin de la vie est incertain et trompeur ; mais la liberté vient, comme un baume salutaire, guérir nos maux, surtout quand l'espérance d'un meilleur avenir n'a jamais cessé de luire à nos yeux.
C'est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle ; c’est le travail qui peut seul lui garantir une liberté concrète.
A la base de notre civilisation, il y a la liberté de chacun dans sa pensée, ses croyances, ses opinions, son travail, ses loisirs.
Être libre c'est vouloir que les choses arrivent, non comme il te plaît, mais comme elles arrivent.
Le sens de la politique est la liberté.
Il n'y a point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice.
La liberté, ce bien qui fait jouir des autres biens.
Pour se soustraire à la force, on a été obligé de se soumettre à la justice : la justice ou la force, il a fallu opter entre ces deux maîtres ; tant nous étions peu faits pour être libres.
La pensée est libre.
La communauté politique la plus libre est celle dont les lois s’appuient sur la saine raison.
C'est la préoccupation des possessions, plus que toute autre chose, qui nous empêche de vivre librement et noblement.
En vérité, mon bonheur et ma liberté viennent pareils à une tempête !
Le fruit le plus grand de la suffisance à soi-même : la liberté.
Jamais la liberté ne cesse d'être aimable ;
Fait-on des lois autrement qu'avec des mots ? Vie, liberté, propriété, honneur, tout ce que nous avons de plus précieux dépend du choix des mots.
— Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? — Pas toujours : mais qu'importe ? — Il importe si bien que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais même pas à ce prix un trésor. » Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.
Les actes des hommes de bonne foi ont comme ultime signification la recherche de la liberté en tant que telle.
Faire tout le bien qu'on peut, Aimer la Liberté par-dessus tout, Et, quand ce serait pour un trône, Ne jamais trahir la vérité.
La libre vérité fut mon unique étude.
Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance il assure l'ordre ; par la résistance, il assure la liberté.
La raison et la liberté sont incompatibles avec la faiblesse.
La simplicité nous présente l'image de la vérité et de la liberté.