Le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse.
Le rêve est une seconde vie.
Voyez-vous dans la vie, il n'y a pas de solutions. Il y a des forces en marche : il faut les créer, et les solutions les suivent.
Qui sait ? Comme la vie est singulière, changeante ! Comme il faut peu de choses pour vous perdre ou vous sauver !
Il n'y a guère que le sublime qui puisse nous aider dans l'ordinaire de la vie.
N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.
Celui qui ne sait pas ce que c'est que la vie, comment saura-t-il ce que c'est que la mort ?
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Nos vies commencent à finir le jour où nous devenons silencieux au sujet des choses qui importent.
Il faut faire en sorte que l'homme puisse, en toute circonstance, choisir la vie.
Partout où quelque chose vit, il y a, ouvert quelque part, un registre où le temps s'inscrit.
Il faut dompter la vie par la douceur.
Il a peut-être des secrets pour changer la vie ?
La vie est semée de ces miracles que peuvent toujours espérer les personnes qui aiment.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille.
Celui qui joue avec la vie n'arrive jamais à rien.
Fait-on des lois autrement qu'avec des mots ? Vie, liberté, propriété, honneur, tout ce que nous avons de plus précieux dépend du choix des mots.
Souvent les ombres dans la vie sont celles que l'on fait à notre propre soleil.
La peur de la mort fait aimer le travail, qui est toute la vie.
La maxime que j'ai le plus observée en toute la conduite de ma vie a été de suivre seulement le grand chemin, et de croire que la principale finesse est de ne vouloir point du tout user de finesse.
Ceci est le véritable secret de la vie: être complètement engagé dans ce que vous faites dans l’ici et maintenant. Et au lieu de d’appeler cela travailler, se rendre compte que c’est un jeu.
C'est l'amour qui fait vivre, puisque c'est lui qui rend la vie aimable. C'est l'amour qui sauve ; c'est donc lui qu'il s'agit de sauver.
La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles Est une œuvre de choix qui veut beaucoup d'amour.
Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie.
L'ordre ne crée pas la vie.
L’amour est une image de notre vie : l’un et l’autre sont sujets aux mêmes révolutions et aux mêmes changements.
Il n'y a qu'un crime, c'est de désespérer du monde. Nous sommes appelés à pleins poumons à faire neuf ce qui était vieux, à croire à la montée de la sève dans le vieux tronc de l'arbre de vie. Nous sommes appelés à renaître, à congédier en nous le vieillard amer !
La vie est comme l'herbe des champs, et la joie comme la fleur de l'herbe.
L’humanité préfère à la vie des raisons de vivre.
Pour le malade, tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.