Marchez sans peur dans la direction de vos rêves! Vivez la vie que vous avez imaginée.
La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve, Et vous aurez vécu, si vous avez aimé.
Photo en arrière-plan de Siim Lukka sur Unsplash
Le rêve est la voie royale qui conduit à la connaissance de l'inconscient.
Celui qui regarde à l'extérieur rêve ; celui qui regarde à l'intérieur se réveille.
J'appris ceci, au moins, de par mon expérience : si quelqu'un avance avec confiance dans la direction de ses rêves, et essaie de vivre la vie qu'il a imaginée, il trouvera des succès inattendus en des moments ordinaires.
Nous sommes de la même étoffe que les songes Et notre vie infime est cernée de sommeil.
Ne te crois pas pauvre parce que tes rêves ne se sont pas réalisés. Vraiment pauvre est celui qui ne connaît pas le rêve.
L'idée de l'avenir, grosse d'une infinité de possibles, est donc plus féconde que l'avenir lui-même, et c'est pourquoi l'on trouve plus de charme à l'espérance qu'à la possession, au rêve qu'à la réalité.
C’est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante.
Le rêve est plus fort que l'expérience.
L'espérance est le songe d'un homme éveillé.
Le voyage est une espèce de porte par où l'on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve.
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d’être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l’ignore. Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L’inflexion des voix chères qui se sont tues.
Mais je suis pauvre, et mes rêves sont mes seuls biens.
Rêver, c'est se désintéresser.
Quelqu'un qui ne laisse pas la réalité déranger ses rêves est un sage.
Je rêve que mes quatre petits-enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère.
La vie est un songe un peu moins inconstant.
Le rêve est une série d'images en apparence contradictoires et absurdes ; mais il renferme un matériel de pensées qui, une fois traduit, se présentent avec un sens clair.
Un jour, espérons-le, le globe sera civilisé. Tous les points de la demeure humaine seront éclairés, et alors sera accompli le magnifique rêve de l'intelligence : avoir pour patrie le Monde et pour nation l'Humanité.
Le rêve est une seconde vie.
De même que nos corps conservent les restes étiolés d'anciennes fonctions, de même, notre esprit porte toujours en lui des tendances instinctives archaïques au moins dans ses rêves et ses fantaisies.
Il en est comme de ces beaux songes qui ne vous laissent au réveil que le déplaisir de les avoir crus.
Le Temps scintille et le Songe est savoir.
L'homme, ce rêveur définitif.
C'est à l'animus qu'appartiennent les projets et les soucis, deux manières de n'être pas présent à soi-même. À l'anima appartient la rêverie qui vit le présent des heureuses images.
Le rêve, c'est le luxe de la pensée.
L'essentiel dans le rêve, ce sont les idées dont il se compose, et non les faits, et ces idées ont toujours un sens, sont cohérentes et disposées selon un certain ordre. Mais leur ordre et leur disposition diffèrent totalement de ce que notre souvenir retrouve dans le contenu manifeste du rêve.
Ce que raconte l'histoire n'est en fait que le long rêve, le songe lourd et confus de l'humanité.
Il est des rêves qui sont de purs poèmes.