La culture de l'âme, c'est la philosophie.
Il faut cultiver notre jardin.
Photo en arrière-plan de Paige Cody sur Unsplash
La culture est ce qui subsiste, quand on a oublié tout ce qu'on avait appris.
Tout ce qui travaille au développement de la culture travaille aussi contre la guerre.
Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude.
La société de masse ne veut pas la culture mais les loisirs.
La notion d'autonomie humaine est complexe puisqu'elle dépend des conditions culturelles et sociales. Pour être nous-mêmes, il nous faut apprendre un langage, une culture, un savoir.
Désormais, son cœur sera partout où règnent le savoir, la culture et les livres ; ce ne sont plus les frontières, les fleuves ou les mers, pas plus que la condition, la race ou le rang social, qui divisent le monde ; il ne connaît plus que deux catégories d'individus : en haut, l'aristocratie de la culture et de la pensée ; en bas, l'ignorance et la barbarie. Là où règnent le livre et la parole, « eruditio et eloquentia », c'est là qu'est sa patrie.
Quelque grands que soient les talents d'un homme, ce ne sont que des demi-talents, s'ils ne sont pas cultivés.
Culture : cri des hommes devant leur destin.