Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore.
Ce qui est fait ne peut être défait.
Il est évident que nous ne sommes pas influencés par les « faits », mais par notre opinion sur les faits.
Si la vie est éphémère, le fait d’avoir vécu une vie éphémère est un fait éternel.
Si bien pourvu que soit notre langage face à tous les cas de figure possibles, et qui appellent à être précisés : un fait restera toujours plus riche qu’un dictionnaire.
N'ayez pas peur de la vie. Croyez que la vie vaut la peine d'être vécue et votre croyance contribuera à créer le fait.
La valeur d'une éducation universitaire n'est pas l'apprentissage de nombreux faits, mais l'entraînement de l'esprit à penser.
La leçon des faits n'instruit pas l'homme prisonnier d'une croyance ou d'une formule.
Les lois scientifiques doivent être découvertes par l'observation et non par le seul raisonnement.
La vérité échappe au jugement, comme les faits échappent à la mémoire : les diverses faces des choses s’emparent tour à tour d’un esprit vif, et lui font quitter et reprendre successivement les mêmes opinions. Le goût n’est pas moins inconstant : il s’use sur les choses les plus agréables, et varie comme notre humeur.
Un fait courageux ne doit pas conclure un homme vaillant.
L'essentiel dans le rêve, ce sont les idées dont il se compose, et non les faits, et ces idées ont toujours un sens, sont cohérentes et disposées selon un certain ordre. Mais leur ordre et leur disposition diffèrent totalement de ce que notre souvenir retrouve dans le contenu manifeste du rêve.
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances.