Dans la pratique de la tolérance, l’ennemi est le meilleur professeur.
Aime la vérité mais pardonne à l'erreur.
Photo en arrière-plan de Neil Thomas sur Unsplash
Donnez à chaque être humain les droits que vous revendiquez pour vous-même.
Qu'est-ce que la tolérance ? C'est l'apanage de l'humanité. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d'erreurs ; pardonnons-nous réciproquement nos sottises, c'est la première loi de la nature.
La tolérance n'est pas un signe de faiblesse, mais un signe de force.
À vrai dire, la tolérance ne devrait être qu'une attitude temporaire : elle doit conduire à la reconnaissance. Souffrir autrui, c'est l'outrager.
La tolérance mutuelle est donc la règle d'or de notre conduite. Il va de soi en effet que nous ne serons jamais tous du même avis et que la Vérité nous apparaîtra de manière fragmentaire selon des points de vue différents.
Tolérer, c'est prendre sur soi : la tolérance qui prend sur autrui n'en est plus une. Tolérer la souffrance des autres, tolérer l'injustice dont on n'est pas soi-même victime, tolérer l'horreur qui nous épargne, ce n'est plus de la tolérance : c'est de l'égoïsme.
Le voyage apprend la tolérance.
Ce commencement de fraternité qui s'appelle la tolérance…
La tolérance est une vertu du coeur, non le privilège d'un point de vue.
Connais le monde, et sais le tolérer : Pour en jouir, il le faut effleurer.
La nécessité enseigne la tolérance.
La tolérance nous donne un pouvoir de pénétration spirituelle qui est aussi éloigné du fanatisme que le pôle Nord du pôle Sud.