Le genre de philosophie que l’on choisit dépend du genre d’homme que l’on est.
Choisir, donc exclure.
Choisir la vie, c’est toujours choisir l’avenir.
La vie n'a pas de sens, a priori. Avant que vous ne viviez, la vie, elle, n'est rien, mais c'est à vous de lui donner un sens, et la valeur n'est pas autre chose que ce sens que vous choisissez.
Le choix est possible dans un sens, mais ce qui n'est pas possible, c'est de ne pas choisir. Je peux toujours choisir, mais je dois savoir que si je ne choisis pas, je choisis encore.
Que vos choix reflètent vos espoirs et non vos peurs.
La nécessité nous délivre de l'embarras du choix.
Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie.
Choix et conscience sont une seule et même chose.
Conscience signifie choix. Le rôle de la conscience est de le décider.
Chaque personne est un choix absolu de soi.
Ce qui n'est pas l'effet d'un choix ne peut être tenu ni pour un mérite ni pour un échec.
Quand nous disons que l'homme se choisit, nous entendons que chacun d'entre nous se choisit, mais par là nous voulons dire aussi qu'en se choisissant il choisit tous les hommes.
Choisir le conseilleur, c'est encore s'engager soi-même.
Choisir ! c'est l'éclair de l'intelligence. Hésitez-vous ? tout est dit, vous vous trompez.
Il faut faire en sorte que l'homme puisse, en toute circonstance, choisir la vie.
Fait-on des lois autrement qu'avec des mots ? Vie, liberté, propriété, honneur, tout ce que nous avons de plus précieux dépend du choix des mots.
Il y a peu à choisir entre des pommes pourries.
Le pessimiste est celui qui, entre deux maux, choisit les deux.
La volonté trouve, la liberté choisit. Trouver et choisir, c'est penser.
Choisir, c'est se priver du reste.
En me choisissant, je choisis l’homme.