Citation de Paul Verlaine - Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon...

Biographie - Paul Verlaine:

Ecrivain et poète français.
Naissance: 1844 - Décès: 1896
Période:
XIXe siècle
Lieu de naissance: France
France

Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon cœur
D'une langueur
Monotone.

Paul Verlaine

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Traduction

(Anglais, Allemand)

The long sobs
Of the violins
Of autumn
Hurt my heart
With a monotonous
Languor

Paul Verlaine

Die langen Schluchzer
der Geigen
des Herbstes
verwunden mein Herz
mit einer monotonen
Wehmut.

Paul Verlaine

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Citations sur le cœur:

Et l'espoir, malgré moi, s'est glissé dans mon cœur.

Jean Racine - Phèdre /

On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.

Antoine de Saint-Exupery /

Cœur

Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point.

Blaise Pascal - Pensées /

Les grandes pensées viennent du cœur.

Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues - Réflexions et maximes /

Il a la politesse du cœur, bien supérieure à celle des manières.

Jean-Jacques Barthélemy, dît l'abbé Barthélémy /

Gardez l'amour dans votre coeur. Une vie sans amour est comme un jardin sans soleil lorsque les fleurs sont mortes.

Oscar Wilde /

Voir plus sur le cœur...

Citations sur l'automne:

L'automne est un deuxième printemps où chaque feuille est une fleur.

Albert Camus /

J'ai cueilli ce brin de bruyère
L'automne est morte souviens-t'en
Nous ne nous verrons plus sur terre
Odeur du temps brin de bruyère
Et souviens-toi que je t'attends

Guillaume Apollinaire - Alcools /

Automne

Paul Verlaine a dit aussi...

Allez, rien n'est meilleur à l'âme
Que de faire une âme moins triste !

Paul Verlaine - Ecoutez la chanson bien douce /

De la musique avant toute chose.

Paul Verlaine - Art Poétique /

Musique

Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous.

Paul Verlaine - Green /

Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville

Paul Verlaine - Il pleure dans mon coeur /

Cœur

L'art, mes enfants, c'est d'être absolument soi-même.

Paul Verlaine /

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime,
Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend.

Car elle me comprend, et mon cœur transparent
Pour elle seule, hélas! cesse d’être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.

Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l’ignore.
Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore,
Comme ceux des aimés que la vie exila.

Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L’inflexion des voix chères qui se sont tues.

Paul Verlaine - Mon rêve familier

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